2020 : commençons par une idée reçue !

Contrôle volontaire et contrôle réglementaire100% des activités des organismes tierce partie reposent sur des contrôles et des certifications obligatoires.
Un constat bien loin de la réalité… Seuls 32% sont concernés.

 

En France, le chiffre d’affaire 2019 des organismes tierce partie de contrôle et de certification s’élève à plus de 3 milliards d’euros.

  • 32% portent sur des contrôles et des certifications obligatoires par tierce partie, réglementaires ou assurantiels.
  • 34% concernent certaines obligations des entreprises françaises, qu’elles délèguent à titre volontaire, à des organismes tierce partie pour des raisons de qualité, de fiabilité et de coûts.
  • 34% relèvent d’évaluations « on demand » que les entreprises françaises sollicitent, à titre volontaire, pour améliorer leur système qualité, de prévention, de performance…

 

Les organismes tierce partie sont présents dans tous les secteurs économiques et représentent une composante essentielle de toute politique de développement durable. En évaluant les performances des clients en matière de prévention, de sécurité, de qualité, de santé ou d’environnement, ils assurent la transcription, dans les faits, des engagements pris par chaque partie (Union européenne, État, acteurs économiques, associations…) dans ces domaines, et contribuent à leur amélioration.